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Véran déroule l’agenda de la vaccination obligatoire suivi de Vaccinés ré-infectés, fichés, infantilisés… le lourd prix de la docilité/Le Pr Didier Raoult constate que le taux de mortalité chez les vaccinés et les non-vaccinés est le même

L’agenda de la vaccination obligatoire suit son cours. Alors que les mesures autoritaires, comme le QR Code dans les restaurants ou le pass sanitaire dans les discothèques, semblent avoir échoué lamentablement sur le mur de l’indifférence populaire, une campagne médiatique commence pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être du fantasme dun contrôle social à l’occasion du COVID : la vaccination obligatoire. Véran a commencé à dérouler son agenda pour la rentrée.

L’agenda de la vaccination obligatoire est lancé, même si personne ne sait jusqu’où l’indifférence des Français pour ces mesures coercitives le laissera aller. Olivier Véran lui a fait franchir une nouvelle étape hier en annonçant l’obligation vaccinale pour les soignants à la rentrée. 

L’agenda de la vaccination obligatoire suit son cours

Lundi n’a pas seulement été le lendemain d’une élection désastreuse pour le parti majoritaire. C’est aussi le jour où Olivier Véran a envoyé un courrier comminatoire aux directeurs d’EHPAD leur annonçant que la vaccination de leurs personnels serait obligatoire à partir de septembre si le taux de vaccination ne franchissait pas les 80% dans cette catégorie de population. Seuls 55% des personnels seraient vacinés aujourd’hui. 

C’est insuffisant et ce n’est pas une situation normale au regard de la fragilité des résidents, dans un contexte de menaces liées à l’apparition et à la diffusion de certains variants préoccupants.

Dans la pratique, on comprend mal ce chiffre de 80%. En effet, il vise la vaccination de tous les personnels d’EHPAD. Mais ceux-ci sont dispersés et, même avec 80% des soignants vaccinés, certains établissements pourraient connaître des taux moindres.

On voit bien ici que le gouvernement a en réalité mis le doigt dans le mécanisme de la vaccination obligatoire des soignants, et que celle-ci sera décidée à la rentrée. Ce faisant, Véran souscrit aux propositions de l’Académie Nationale de Médecine émises il y a un mois, et que nous avions décortiquées dans la vidéo ci-dessous. 

La question de la vaccination obligatoire revient

Parallèlement, les autorités sanitaires entament une véritable campagne d’influence pour dérouler l’agenda de la vaccination obligatoire. 

Lundi, l’institut Pasteur publiait une étude montrant que les non-vaccinés contribuaient plus que les autres à la diffusion du virus. La conclusion du document est simple :

Parmi toutes les mesures étudiées, la vaccination des non-vaccinés reste l’approche la plus efficace pour contrôler l’épidémie.

Autrement dit, sans vaccination obligatoire, il y aura une 4è vague. 

Le lendemain, Santé Publique France publiait les chiffres de la première vaccination. 33,5 millions de Français ont désormais reçu une première dose de vaccins. Verre à moitié vide, verre à moitié plein… Il reste encore une moitié de Français à vacciner. 

Le fichage des non-vaccinés commence

La pression commence donc à se faire sentir sur le petit peuple des non-vaccinés qui n’est pas encore converti à la nouvelle religion dominante. L’évangélisation ne devrait pas tarder !

Ainsi, il paraît que « les médecins généralistes » ont demandé à disposer de la liste de leurs patients non-vaccinés pour les contacter. Quels médecins généralistes ? Personne ne semble le savoir, mais le ministre de la Santé leur a néanmoins garanti un accès à ces listes

On demande des listes de patients depuis longtemps : pour vacciner contre la grippe, pour dépister le cancer du sein ou du colon… A chaque fois, on nous a objecté que la Commission nationale informatique et libertés ne l’autoriserait pas. Maintenant, on va enfin obtenir gain de cause.

Cette phrase d’un représentant du CSMF, l’un des syndicats de médecins généralistes, en dit long sur l’opportunité que le COVID offre de fouler au pied la protection des données individuelles assuré jusqu’ici par la CNIL. 

Devant un tel déni de démocratie, on peut que s’interroger sur l’instrumentalisation du COVID par les partisans d’un contrôle massif de la population, au mépris des libertés individuelles. 

Vaccinés ré-infectés, fichés, infantilisés… le lourd prix de la docilité

By fr.sott.net 4 min View Original

Les pays qui nous ont été donnés comme modèles à suivre, à la fois pour l’organisation des campagnes de vaccination et pour le civisme de leurs nationaux, ces pays qui ne subissent pas comme la France l’affreux tempérament râleur des Gaulois, ont du mal aujourd’hui à dissimuler leur « gueule de bois ».

© Ludivoc Marin/AFP Le secrétaire d’État au numérique Cédric O montrant l
© Ludivoc Marin/AFP Le secrétaire d’État au numérique Cédric O montrant l’application StopCovid
Dur lendemain d’une ivresse de confiance : en Israël, laboratoire grandeur nature des campagnes de vaccinations, entre 40 et 50% des nouveaux cas du mois de juin sont des personnes déjà vaccinées, re-contaminées par le Covid-19. Quarante à cinquante pour cent, alors que les deux tiers de la population israélienne a reçu les deux doses de vaccin ! Si les analyses détaillées confirment ces chiffres, cela signifiera qu’il y a autant, voire plus de contaminations chez les vaccinés que dans le reste de la population. Déjà en mai on avait découvert l’explosion en France des infections Covid chez les personnes ayant reçu une première injection du vaccin. Le relâchement de vigilance de ces personnes avait, alors, été l’explication avancée pour cet étrange phénomène.

 

Même tendance au Royaume-Uni, dont 80% de la population est vaccinée et qui constate cette fin juin, d’après le journal The Hill« le plus grand nombre de cas Covid-19 depuis février. » Les deux pays-modèles remettent donc leur population sous cloche avec port de masque obligatoire et restrictions aux déplacements, pendant que la presse s’empare du sujet avec de grandes rames pour expliquer que, contrairement aux apparences, ce phénomène est normal. Les experts qui martelaient le principe d’immunité collective comme un fait scientifique indiscutable justifiant les vaccinations massives, se font experts en gymnastique pour affirmer maintenant que les vaccins ont seulement un effet « statistique » pour limiter les formes graves des maladies. Et qu’il faut accélérer les campagnes pour éviter une nouvelle vague à la rentrée.

La vérité qui pointe le bout de son nez est malheureusement un peu plus rude que cette nouvelle potion de sommeil qu’on tente d’administrer à l’opinion publique. Au printemps, on avait déjà observé que tous les pays avec de forts taux de couverture vaccinale vivaient le même phénomène de ré-infections : Seychelles, Indonésie, Chili…. La première interprétation avait été que ceci était le reflet de l’inefficacité du vaccin chinois Sinovac, mis sur le marché sans essais cliniques contrôlés et avec comme d’habitude une absence totale de transparence du gouvernement chinois sur les résultats obtenus et les effets secondaires observés. Le président Macron lui-même craignait alors que le Sinovac fût responsable de l’apparition de variants plus contagieux et dangereux de Covid-19.

Mais les données fournies par Israël décrivent l’effet des vaccins à ARN messagers de Pfizer et BioNTech. On ne peut donc que conclure aussi directement que pour le Sinovac que ces coûteux produits n’ont pas l’efficacité qu’ils promettaient. On doit aussi, même si c’est désagréable, s’interroger sur le rôle que ceux-ci pourraient avoir eu dans l’accélération de la diffusion du variant Delta, seul à bord maintenant avec nos organismes comme terrain de jeu.

Voici donc le résultat de la dure confrontation entre les observations de terrain et les bonnes intentions de départ : ces nouveaux vaccins de haute technologie, qui rapportent des dizaines de milliards d’euros à leurs vendeurs, que la pression sociale, médiatique, politique impose à tous d’accepter pour faire partie des citoyens éclairés par la science plutôt que du détestable contingent des rétrogrades, ces vaccins donc, ne semblent pas capables de maîtriser l’épidémie. La diminution du nombre de contaminations en juin 2021 ne diffère pas de celle de juin 2020 et peut-être faudra-t-il bientôt affronter le fait que les efforts consentis par tous et toutes pour atteindre « l’immunité collective », en acceptant d’être fichés, suivis, classés, en étant restreints dans nos mouvements, n’ont pas servi comme on l’espérait.

Pour les personnes en dessous de 50 ans, les données rassemblées par les équipes de l’Université de Cambridge et publiées dans la revue Nature montrent que (hors personnes âgées et à risque), moins de 0,1% des cas d’infections par Covid-19 conduisent à un décès. En dessous de 30 ans, dix fois moins. À 15 ans, cent fois moins. Sur la dernière année et demie, le risque d’être contaminé par les premières formes de Covid a été de moins de 9% d’après Santé Publique France. Mais, à côté de cela, les dernières analyses des données européennes font apparaître 4 décès et 16 effets indésirables graves pour 100 000 vaccinations. Même si ces vaccins high-tech ne portaient pas de risques d’effets secondaires à long terme, ces chiffres indiquent déjà qu’ils sont potentiellement plus dangereux que le Covid-19 lui-même pour les jeunes de moins de 30 ans, sont légèrement bénéfiques arrivés à la cinquantaine, deviennent importants à l’entrée dans le 3e âge et sont probablement essentiels dans les EHPAD où la mortalité dépasse 20% des personnes infectées.

La politique actuelle du tout-vaccinal impose donc, soutenue par le classement social qu’opère l’application « Tous AntiCovid », d’accepter des vaccins parfois inutiles à titre individuel mais aussi à titre collectif puisque, si les chiffres récents sont confirmés, ils n’empêchent pas d’être réinfecté et donc de contaminer ensuite des personnes fragiles. Si ce principe de vaccination solidaire ne tenait plus, il serait temps de cesser cette politique coûteuse qui a fait rentrer petit à petit dans la normalité de nos vies le traçage et le fichage des individus, dont l’idée initiale ne vient pas du gouvernement français, mais du modèle chinois de contrôle des populations.

https://fr.sott.net/article/37435-Vaccines-re-infectes-fiches-infantilises-le-lourd-prix-de-la-docilite

Le Pr Didier Raoult constate que le taux de mortalité chez les vaccinés et les non-vaccinés est le même

Publié par wikistrike.com sur 30 Juin 2021, 07:28am

Le Pr Didier Raoult constate que le taux de mortalité chez les vaccinés et les non-vaccinés est le même

 

Dans ce bulletin d’information scientifique de l’IHU, le Pr Didier Raoult constate que le taux de mortalité chez les vaccinés et les non-vaccinés est le même et souligne, encore une fois, que les gens qui en meurent sont des sujets très âgés, qui ont une espérance de vie très faible. « Cette maladie tue des gens de plus de 65 ans qui ont des facteurs de risques associés ou des gens de plus de 75 ou 85 ans qui ont une espérance de vie très faible. ce n’est pas une maladie qui va tuer des enfants. »

Le Pr Raoult rappelle que « 1- ça ne mérite pas un tel affolement. 2 – il faut soigner en particulier les personnes âgées, 3 – il faut tester les molécules anodines comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, en particulier dans les Ehpad […] Si vous voulez vraiment diminuer la mortalité, il faut se préoccuper de cette population avec des médicaments connus, sans risques. »

« Il y a une distorsion d’information dans les journaux anglais qui amène à ce que c’est eux qui en sont les premières victimes. Là où il y a le plus de victimes, c’est là où il y a le plus de journaux scientifiques, le plus de moyens financiers pour les soins, le plus de corruption et le plus d’industrie pharmaceutique. Ça montre qu’il y a un paradoxe au fait que c’est devenu un inconvénient d’être le pays qu’on pensait être le leader. »

« La politique extrêmement active de vaccination n’aura pas donné les résultats escomptés comme on nous le présentait […] les choses ne sont pas si simples, encore une fois il n’y a pas de baguette magique. »

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4 réponses »

  1. Michel Rosenzweig
    ·
    Vacances sanitaires conditionnelles sous surveillance.
    30 juin 2021: veille de la grande transhumance estivale.
    Le troupeau humain est en liberté conditionnée et surveillée pour deux mois, si tout va bien.
    Car les médias malveillants distillent déjà leur propagande par la peur, montant en puissance au son de la ritournelle du variant Delta qui progresse et inquiète paraît-il en Asie et en Russie.
    Histoire de bien mettre toute la pression avant l’ouverture des parcs animaliers humains en espérant que les brebis récalcitrantes galeuses, affolées et décervelées, se sentent suffisamment mal à l’aise et qu’elles se pissent dessus de trouille, avant de se précipiter vers les hangars à seringue.
    Tous les moyens sont bons pour ramener les égarés dans l’enclos, et la PNL de masse fonctionne à plein régime avec la fabrique du consentement et de l’opinion qui finira par percoler jusque dans nos chiottes afin de nous convaincre de l’utilité et de la nécessité impérieuse et altruiste de la piquouse.
    Pauvre espèce humaine.
    Cette obsession immunitaire artificielle collective hystérique a quelque chose de pathétique, en plus d’être insupportable.
    Faites-vous piquer, car « nous » n’avons plus de patience, clament d’un « nous » majestatif les élites intellectuelles et savantes autoproclamées en procureurs de la morale sanitaire invitées dans les studios pour diffuser leur propagande prosélyte pornographique sans un seul contradicteur légitime faisant autorité pour leur clouer le bec.
    Le crépuscule de l’Occident décadent n’en finit pas d’obscurcir la pensée et la raison de ce siècle des Lumières vacillantes.
    La Science a déserté les consciences au profit d’une religion scientiste pervertie et corrompue, cynique, toxique, engagée dans une voie « sociocidaire » de masse.
    L’Ordre médical a renoncé à soigner et le biopouvoir avance masqué avec l’intention ferme de rendre l’immunité artificielle peu à peu obligatoire par segmentation socioprofessionnelle en attendant que la prochaine vague médiatique et politique achève les derniers indécis.
    D’ici peu, je le crains, plus aucun secteur d’activité n’échappera au conditionnement sanitaire numérique.
    Même la santé au nom de laquelle ce régime abject a été mis en place est menacée par ce conditionnement, l’accès aux soins hospitaliers, les consultations médicales et les prescriptions risquant d’être soumis à un passeport sanitaire dans un avenir indéterminé mais cependant plus proche qu’on ne le pense.
    Et au prochain enfermement, les récalcitrants au sérum seront assignés à résidence selon l’apartheid sanitaire désormais bien en place.
    L’étau liberticide se resserre ainsi semaine après semaine et le totalitarisme de surveillance et de contrôle « sanitaire » tyrannique étend ses mailles et ses filets réticulaires, réduisant nos vies à des singularités biométriques repérables et traçables.
    Bonne vacances.
    © Michel Rosenzweig, 30 juin 2021
    Photo: « En cas de besoin », les Photovore

  2. Quand tu vois que le nombre de cas en Israel est passé de 17 à 172 (de moyenne) en 10 jours (c-a-d qu’on a fait x10), c’est que c’est pas la solution miracle.
    Lors du pic d’octobre, l’évolution ne faisait que tripler sur cette même période de temps.

    Mais bon, c’est surement la faute aux quelques hérétiques non vaccinés qui refusent de reconnaître le vaccin comme messie.

    In vaccination we trust
    Impfstoff Mit Uns
    Impfung Macht Frei

  3. Je savais la démocratie crevée au fil de l’eau et symboliquement depuis le référendum du Traité de Lisbonne que ce peuple récalcitrant et vengeur avait jugé bon de devoir refouler de son estomac noué par si ambitieuses et eurodolatres formules du bonheur.

    Mais voilà, le « quoi qu’il en coûte » a payé puisque le parlement a déjugé la parole du peuple et la vomis à son tour.

    2020, le covid, le flicage, la muselière, l’ausweis… La démocratie pourrit par ses racines les derniers lambeaux de souvenirs dans un recoin nostalgique de notre mémoire qu’on désire assassiner. Il ne leur reste plus que le credo de la « république » , gueules haletantes, oubliant certainement cette soeur jumelle et éloignée portant ce doux nom de « République de Corée du Nord ». Elle a été boudée par la grande famille républicaine et consanguine… à tord, mais la situation actuelle appelle aux efforts concertés. Les vœux sont des pieux pour la grande convergence fraternelle avec cette autre sœur cadette, elle aussi d’un père méconnu.

    Autre sœur aînée, modèle d’absolu divin qu’incarne la Chine. Elle est encensée pour sa fabuleuse gestion de la « crise sanitaire », sa poigne de fer dans un gant de latex, le majeur en pointe et menacant pour nous le glisser sur un malentendu. On ne doute pas des appétits autoritaristes qui accompagnent la comparaison avec cette voisine si éloignée et pourtant déjà si proche. Nos élites occidentales se préparent au ‘grand bond » techno-fasciste…ils l’appellent Great Reset… Changement d’enseigne qui fait plus vert à l’extérieure de sa dureté et rouge sanguinolent comme peut l’être la pastèque. C’est plus tendance par nos temps courants pour assurer un bon marketing auprès des gueux qui sont trimbalés au gré des aléas socio-ingénieriques d’un climat psychologique chaotique mais calculé. Ce que le dépassé, ringard et mal connoté: « nouvel ordre mondial » n’attire plus et pour tout dire il fait meme flipper la ménagère de moins de 50 ans dont le cerveau est devenu beaucoup moins disponible depuis qu’on a atteint l’immunité collective face au dangereux virus de la vérité.

    Demain, on nous le promet, on obligera les soignants à se faire vacciner et on peut dire que les chiens hurlent et salivent déjà plus forts et plus hautains de les voir plier, ses soignants applaudis hier, honnis aujourd’hui. Voyez déjà ces traîtres à la nation, ils n’ont pas eu leurs rations, ils vont pourtant courber l’échine, tendre l’épaule, renfiler leur blouse, fermer leurs gueules et rentrer dans les rangs des convertis pour la servitude nationale et même internationale (sans la chanson sur la « lutte finale »?).
    L’église des « derniers jours » est une secte de fanatiques matadors de la seringue qui n’a pour horizon que le délire de goûter son pouvoir qu’elle exerce sans retenue et sans masque véritable.Ce n’est pas que l’on sacrifiera toujours le bouc-émissaire pour faire avancer l’agenda 2030 avec l’assentiment du plus grand nombre? Machine implacable et froide, machinisme de la raison fertilisée à la covidémence hystérisée d’une élite qui tend à contaminer son peuple.

    Aux mêmes pompeux abrutis qui défilent en tourniquet à la télévision sans que le mal de tété ne les freine, on ne peut alors que leur souhaiter que le grand rêve du fuhrer maoisé klaus schwab se réalise enfin: « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »… Pourtant, tous ces bobos (les bolosses de nos cours d’école) ont déjà perdu l’essentiel d’une vie: honneur, dignité et intelligence placée sous la morale dont ils arpente encore les terres sans la connaitre.

    Ils veulent, ces couards,assurer leur salut terrestre, le rendre le plus durable grace à la science car c’est là le seul viatique qui compte; même ce pauvre Michel Onfray apparaît pour ce qu’il est derrière ses discours méritoires sur le risque orwellien, un Etre apeuré par la mort et plus encore par l’idée que celle-ci éveille en lui de plus profond, sourd et de terrible.
    C’est qu’entre le cœur et la cervelle, la nature a cru bon de placer les tripes… et des tripes ils en ont fait un nœud gordien pour la pensée.
    C’est aussi qu’aucun mot ampoulé dans une sauce idéologique, si onctueuse qu’elle fut en vibrations de vérité pour nos sentiments, ne saurait masqué la trouille enfouie qui fonde le vrai pouvoir lénifiant qui le et les domine, dans les chairs, dans les tripes et au delà de ce que le mystère conserverait de secrets contenus dans leurs intimes.
    La trouille est le maître d’oeuvre véritable, d’Onfra, C’est le Grand Architecte comme on dit avec renoncement puisque « Dieu est mort » dans la tombe des mots que Nietszche nous légua.

    Onfray commet l’irréparable, comme le célèbre philosophe Heidegger avant lui, en son temps d’obscurité, si similaire au notre dans sa nature; lui qui sacrifia aux passions de l’Ordre Noir a fait reprendre par ses suivants la voie sans issue de l’erreur et de la « chute de l’Homme ».
    Tout ce que les circonvolutions intellectuelles pourtant lumineuses à l’entendement des choses qui semblaient jusqu’ici voilées aux communs des mortels ne pouvaient empêcher qu’il en fut pourtant séduis et réduis aux acquêts simulacres suggestibles d’une hypnose collective qui enveloppaient d’une brume épaissie les cœurs d’un peuple autant que de leur raison.

    L’acte d’accusation:
    Onfray:  » j’ai fait savoir que j’étais favorable au pass sanitaire. Mais vous avez bien sûr le droit de contaminer les gens, il n’y a aucun problème mais vous pouvez aussi quand vous avez le sida avoir des rapports sexuels non protégés avec des gens. C’est un droit allez-y ! Effectivement, vous avez une jeune fille qui vous plaît, vous avez le droit de la violer. Cette façon de concevoir que le droit de nuire est un droit, me sidère. Vous avez le droit de ne pas vous faire vacciner. Mais la société a le droit aussi de se protéger de vous… ». Goulag, camps de rééducation, concentration… Quelle serait la meilleure recette? Onfray est passé d’Aristote à Polpot, de Platon à Mao… Une bonne mémoire pour les citations, ce sont des citations à comparaître chez Onfray… Devenu le « Grand Inquisiteur » dont discutent les Frères Karamazov de Dostoïevski.

    Remarque: le choix de Pol Pot n’est pas une légèreté de l’esprit mais bien le moyen de déceler des symptomes qui annoncent la banalité de l’oppression. Ainsi s’agissant de Pol Pot: « Le tribunal estime que « le crime de génocide était établi » selon le droit international car le programme des Khmers rouges visait à « établir une société athée et homogène (en) supprimant toutes les différences ethniques, nationales, religieuses, raciales, de classe et culturelles ».) Toute référence à notre présent ne serait que pure délire de ma part.

    Heidegger, avant Onfray, céda et prêcha l’allégeance: « non seulement en raison d’une conviction intérieure, mais aussi conscient que c’est la seule voie pour rendre possible une purification et un éclaircissement du mouvement (nazi) ». Notre société doit être purifiée elle aussi de ses parias et dissidents « non vaccinés ».

    Quelle voie impénétrable, le Mal emprunte t-il pour convertir ceux là même qu’on penserait préserver d’un vice aussi sensible à la nature du Mal?

    De Heidegger à Onfray, le Mal empoigne insidieusement par la peur, nourrit les espérances douteuses ceux que la raison égare pour la beauté envoûtante et alchimique des mots; cela, pour mieux masquer leurs maux intimes fichés dans les méandres de l’inconscient… C’est que nul phare spirituel et intime n’éclaira leur route et chacun erra à la manière de l’aveugle guidant les aveugles pour s’entraîner mutuellement à creuser leur tombe dans les limbes de la pensée magique. Chacun pensant pagayer pour soi et la communauté en quête de la grandeur promise pour un El Dorado qui les grandirait aux yeux de l’Histoire. Pourtant et malgré eux, c’est en se faisant les plus petits qu’ils ne se pensaient être à leurs propres yeux « narcissisés » qu’ils en vinrent à se croire grand.
    L’Hubris a ses subtilités qui font prendre les connaissances pour des savoirs accomplis et de ces contrefaçons de la pensée on leur dresse des lauriers de sagesse pour invertébrées noctambules.

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