Je dis qu’il y a une métamorphose, qu’elle est gigantesque, que personne ne la voit, ou que l’on préfère détourner le regard, qu’elle se déploie avec sorte de naturel pétrifiant, que ça sourd et jaillit de partout, comme une contre-résurrection démoniaque perpétuelle, et qu’aucun écrivain n’avait été encore confronté à un acharnement si surprenant, si comique et tragique, dans tous les domaines.
— Philippe Muray, Festivus festivus (2005) p. 183.
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Et quid de ces constatations à des lecteurs déjà acquis à la cause ?